lundi 6 juin 2011

Dix jours après.

Dix jours après l'ouverture de ce nouveau blog, je vous dois un premier petit bilan. D'abord, vous êtes demeurés fidèles. Je craignais une perte dans le transfert. Mais non ! Le public est toujours aussi nombreux. Fait amusant : le précédent blog continue à être consulté, avec un afflux non négligeable mais dégressif. C'est un astre mort qui poursuit sa course dans l'espace ...

Dans cette métamorphose, je n'ai pas perdu au change. J'ai reçu quelques remarques sur la forme, mais pas de déception ou d'abandon. Les changements pourtant sont nets. J'ai renoncé aux "bonjour à toutes et à tous", "bonne soirée" et autres politesses. Je ne surligne plus les mots ou les formules importants. Les commentaires sont plus sévèrement sélectionnés et je n'y réponds plus.

Pourquoi ces choix ? Pour gommer les aspérités, arrondir les angles, atténuer l'aspect polémique, donner à mon style un peu plus de courbes et un peu moins d'arêtes. Je ne cherche nullement à affadir mes propos ; il y aura encore du sel et du feu. Mais je ne veux plus entrer dans les querelles mesquines, les conflits personnels, les oppositions stériles.

Ceux qui ont une question à me poser ou veulent un échange plus personnel peuvent me contacter sur ma messagerie privée (disponible sur mon profil, à la rubrique "contact"). Mais ce ne sera plus public. J'avais au départ songé illustrer certains billets par des photos. J'y renonce, ce n'est pas une bonne idée : le texte se suffit à lui-même, des vignettes ne pourraient que distraire l'attention (mon autre blog, en revanche, privilégie désormais l'image sur l'écrit ; vous pouvez vous y reporter si vous le souhaitez ; consulter là aussi le profil).

J'ai tenté de diversifier les sujets de réflexion, de respecter ce qu'annonce le sous-titre : politique - culture - société - vie locale. Ce n'est plus un blog militant, même si c'est toujours un blog engagé. Je m'efforcerai de vous faire part, plus souvent, de mes activités associatives, professionnelles et autres. Prochain debriefing : dans cinq ans !

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