samedi 5 novembre 2016
Nous avons besoin de vous
Aujourd'hui se sont réunis à Paris les comités locaux du mouvement En Marche ! d'Emmanuel Macron. Hier soir, à Saint-Quentin, au café L'Edito s'est tenue la première rencontre du comité local, en présence de Norbert, Mehdi, Raphaël, Yann, Bruno et Laurent. Mike ne pouvait pas être des nôtres. Ce matin, Jean-Marc et Cécile nous ont rejoints. Une dizaine, c'est un bon début. Il nous faut, maintenant, dans notre ville, amplifier la dynamique nationale en faveur d'En Marche ! et d'Emmanuel Macron. L'intérêt existe, le besoin de renouveau est présent, le mouvement peut et doit se développer.
Hier, nous avons fait connaissance, partagé nos expériences. Venant du centre droit ou de la gauche social-démocrate, le désir de changer la vie politique, de proposer une nouvelle donne est fort. Macron suscite l'enthousiasme, représente un espoir parce qu'il offre la possibilité d'un militantisme hors des logiques d'appareil. Chacun arrive avec ses idées, ses compétences et le dialogue peut s'engager. Il ne s'agit pas de se ranger aveuglément derrière un leader ou de s'enfermer dans un courant. Oserais-je dire que s'invente avec En Marche ! un militantisme libre, ouvert et intelligent ?
Sur le fond, nous avons discuté, entre autres, du rapport, souvent mal compris, entre la gauche et le libéralisme, le marché, l'entreprise. Aussi de la nécessité à adapter la politique aux changements de société : ubérisation, individualisme, etc. De même, si gauche et droite continuent à exister, le clivage est moins pertinent qu'autrefois. Redonner enfin à la vie politique, qui laisse parfois l'impression qu'on ne peut plus rien réformer, de l'enthousiasme, de la bienveillance et de l'optimisme, que la personne d'Emmanuel Macron incarne assez bien. D'où certainement la curiosité et l'engouement qu'il suscite.
Dans les jours qui viennent, Mehdi concevra sur l'internet une plateforme où nous pourrons poursuivre nos échanges à distance. Puis des rencontres directes traiteront des propositions d'Emmanuel Macron. Car c'est le seul bémol : son projet n'est pas assez connu. Bien sûr, l'élaboration est collective et progressive. Mais les premières mesures ont été présentées, en matière économique, sociale et éducative. A nous d'en discuter et d'en faire la pédagogie.
Dans l'immédiat, il faut élargir notre cercle. L'adhésion est gratuite ; il suffit de partager les valeurs du mouvement. Pour s'inscrire : https://en-marche.fr/adherer.html . Ensuite, le nouveau membre choisit son comité local et est contacté par l'animateur. Nous avons besoin de vous !
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20 commentaires:
"Aussi de la nécessité à adapter la politique aux changements de société : ubérisation, individualisme" faut-il s'y adapter ou lutter contre ?Là est la question, c'est comme si on disait au moyen-âge, il faut s'adapter à la peste et au choléra, car on ne peut pas lutter contre.
Pourquoi laissez vous secret les trombines de vos nouveaux amis politiques et pourquoi ne donnez vous pas leur dernière appartenance ... Etes vous encore au PS ??? Si vous fonctionnez comme une secte avec semble- t- il une sorte de cooptation, cela n'est pas la démocratie mais une forme d'oligarchie ....
1- L'ubérisation est un mot un peu compliqué, mais je vous assure que ce n'est pas une maladie dangereuse.
2- "En Marche !" fonctionne à l'adhésion libre et gratuite. Pas de cooptation. La double appartenance est permise.
L'uberisation n'est pas dangereuse pour ceux qui ne risquent pas de perdre leur travail comme Emmanuel Mousset. Double appartenance ou double jeu quand on est au parti "socialiste et qu'on soutient un non-socialiste.
Double appartenance y compris au FN ???
1- L'ubérisation est profitable à ceux qui n'ont pas de travail. L'appartenance n'est pas un jeu, double ou pas.
2- Difficile d'être facho et con à la fois. Une tare suffit.
Toujours aussi naif, Monsieur Mousset ! l'uberisation se fait toujours au détriment de ceux qui ont un travail, comme c'est déjà dans le cas des taxis, et qui en vivent correctement. L'uberisation ne crée que des emplois précaires et mal payés pour enrichir la multinationale étatsunienne UBER. Comme tous les libéraux qui se disent de gauche Macron et les siens ne veulent que rendre le travail plus précaire, flexible et mal payé selon les voeux du patronat. Pour reprendre un mort que vous avez naïvement repris en une d'un de vos posts Macron et les siens sont des traitres pour le monde du travail. Des idiots utiles du Capital comme des petits-bourgeois qui ne voient pas plus loin que le bout de leur nez.
Absent car j'étais avec Emmanuel Macron à Paris pour le 1er rassemblement des animateurs et responsables départementaux d'En Marche ! Et des Jeunes avec Macron :)
Vous retardez d'une guerre : ce n'est pas que le travail soit précaire, flexible et mal payé, selon les termes de votre catéchisme. C'est qu'il n'existe plus du tout, et qu'il n'y a aucun salaire pour des millions de Français. C'est à cette injustice-là, la première des injustices, que Macron veut s'attaquer. Mais votre catéchisme anti-libéral n'a pas grand-chose à en dire.
Le travail n'existe plus parce que vos amis politiques comme la droite n'ont rien fait pour qu'il existe encore. Pis ils ont tout fait qu'il disparaisse au nom d'une orthodoxie monétaire et comptable inspirée par l'ordolibéralisme allemand. Vous êtes prisonnier d'un dogme de monnaie forte à tout prix, celui de l'oligarchie depuis 30 ans pour faire une Europe à tout prix. Vous n'avez jamais défendu le monde du travail comme la droite, en résultat il ne vote pas ni socialiste, encore moins communiste comme il y a plus de 30 ans. Il vote en majorité FN,et quoique vous en pensiez, c'est trop tard, vous et votre mentor ne le récupérerez jamais parce que tout votre discours, propositions sont contraire aux intérêts du monde du travail qui attend une sécurité professionnelle comme la vôtre mais que vous préférez garder pour vous seulement.
Vous et votre mentor ne fait que réciter le catéchisme ultralibéral en vigueur depuis plus de 30 ans. Les mêmes cause produisent les mêmes effets rétrogrades économiquement et socialement. Tous deux vous êtes vieux, votre "catéchisme" libéral est profondément daté. Il a échoué, partout. Persister dans l'erreur est le propre des idéologues.
C'est vous qui retardez d'une guerre, prisonnier de dogmes plus que trentenaires. Vous ne pouvez et ne voulez pas voir que le monde est en train de changer. Voyez donc ce qui se passe en Grande-Bretagne le gouvernement de Theresa May est en train de tourner la page du libéralisme économique en vigueur depuis 1979 avec l'arrivée au pouvoir de l'ultralibérale de Margaret Thatcher.
Votre Mentor,si jeune, est aussi vieux dans sa tête, comme Juppé l'est sur tous les plans.
Pour un homme qui se dit de gauche vous reprenez toutes les idées du patronat. Parce que vous partagez les mêmes idées que la droite.
Je serais de droite sans m'en rendre compte ? Ce serait inquiétant, en effet.
Soyez rassuré, vous êtes loin d'être le seul dans ce cas: votre mentor Macron et tout le parti "socialiste".
Tout un parti changerait de camp sans s'en rendre compte ? C'est énorme, presque de la science-fiction, un coup des extraterrestres, une sorte de complot. Vous devriez écrire un bouquin là-dessus, vous auriez du succès, vous passeriez sûrement à la télévision.
"vous auriez du succès, vous passeriez sûrement à la télévision."
Ah ? J'aurais plutôt tendance à penser que "passer sur le blog jaitantdechosesavousdire" était supérieur sur le plan "succès" à "passer à la télé"...
Du moins certaines télés.
N'exagérez pas. Et puis, la formule "blog" est aujourd'hui dépassée. Tout le monde est sur Facebook (que j'appelle, dans l'intimité, "farcebook" ou "fessebook").
Ou fesses (de) bouc...
Il n'y a que l'aveugle Emmanuel Mousset pour ne pas voir, s'apercevoir que le parti "socialiste" fait la même politique que la droite. L'électorat, lui, ne s'y trompe pas! Sa cécité lui fait oublier toutes les raclées électorales subies par son parti depuis 2012. C'est cela qui compte. Alors nous verrons Monsieur Mousset se lamenter, pleurnicher sur son blog.
Si le Parti socialiste faisait une politique de droite, la droite soutiendrait le Parti socialiste. Or, c'est tout le contraire.
Votre problème, c'est que vous affirmez, mais vous ne démontrez rien. Et pour cause : vous ne le pouvez pas. Je peux comprendre que la réflexion ne soit pas votre fort ; mais ce n'est pas une raison pour vous entêter dans des absurdités.
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