dimanche 14 mai 2017

Monsieur le Président



En ce jour d'investiture du nouveau président de la République, je ne résiste pas au plaisir de rappeler ma rencontre avec lui, par hasard, le jeudi 07 mai 2015, dans les jardins du Luxembourg, à Paris. C'est un lieu où j'aime beaucoup aller me promener. Cet après-midi-là, il y avait beaucoup de monde, et je n'étais pas sûr au début que c'était lui. Après un moment d'hésitation, j'ai osé l'interpeler, et il m'a répondu avec le naturel et la sympathie que nous lui connaissons.

Nous avons discuté jusqu'en bas de la rue Soufflot (en vignette). Au loin, le Panthéon. C'était un clin d'œil de l'Histoire et nous ne le savions pas : en 1981, François Mitterrand remontait cette même rue pour marquer solennellement son accession à la présidence de la République. Je me souviens encore d'avoir suivi la cérémonie à la télévision, comme nous suivons ce matin celle qui fait d'Emmanuel Macron le huitième président de notre cinquième République.

Nous avons discuté de philosophie (non loin de cette Sorbonne où j'ai fait mes études), de politique, d'Amiens, de Saint-Quentin ... Autour de nous, peu de gens reconnaissaient celui qui n'était ministre que depuis moins d'un an. Qui aurait pu imaginer que deux années plus tard ... A l'instant de nous quitter, Emmanuel Macron m'a dit : "Je passerai vous voir à Saint-Quentin, en voisin". Ce n'est pas la promesse la plus difficile à tenir, monsieur le Président. En attendant, tous mes vœux de réussite à la tête de la France, pour la France.

45 commentaires:

Philippe a dit…

Revoir mon commentaire 13 mai 2017 à 16:56 dans « Génération Macron »
Concernant les cailloux dans la chaussure de Mr le Président
je n'ai pas évoqué que motard Varoufakis et ce qu'il en pense !
ni la famille Le Pen le boulet attaché par le vichyste F Mitterrand à la cheville de l’extrême droite son milieu d’origine.
Vous faites une fixette sur la famille Le Pen et son entreprise familiale qui, comme le PS du Congrès d’Epinay, va être renvoyée dans les oubliettes de l’histoire franchouillarde.
J’ai évoqué aussi au travers Christophe Guilluy l’existence de l’autre France numériquement importante et qu’une politique néo-libérale peut faire grossir.
Cette population que nous connaissons à St Quentin attend elle aussi son « Macron » ou son gourou.
Pour l’heure elle reste dispersée politiquement au niveau France, elle a été prise de vitesse par les bénéficiaires ou non perdants du système économique actuel qui se sont trouvé E Macron (ouf!) mais cela va-t-il continuer ?
C’est l’unique problème interne que va avoir E Macron : Ne pas faire grossir numériquement la France dite périphérique (selon les concepts de Guilluy), s’il reste immobilisé par/dans la toile d’araignée « UE » il ne pourra pas l’éviter.
1er décryptage demain avec Merckel.

Emmanuel Mousset a dit…

Ni Varoufakis, ni Guilluy : je récuse leurs présupposés idéologiques. Le Pen : ennemie à jamais.

Philippe a dit…

Je n’ai pas de compétences en géographie humaine pour juger de la solidité des travaux de C Guilluy concernant l’état des lieux qu’il fait.
Raymond Barre en 1977 disait qu’il voyait la fin du tunnel.
Depuis lors tous les politiques reformulent la même idée/fable … Mouha je vais prendre les bonnes mesures et vous allez voir …
Pour cette raison j’ai plutôt tendance à suivre le raisonnement de ce géographe.
Ceci dit si je ne m’intéresse qu’aux revenus de ma petite personne j’aimerais que Guilluy ait tort car je fais partie de la classe sociale de Macron … c’est donc tout bon … que les « périphèriques se dém…...!

Emmanuel Mousset a dit…

Un géographe devrait rester strictement dans son domaine, la géographie. Quand il en sort pour faire de la politique, il fait des dégâts. Un peu comme Emmanuel Todd avec la démographie. C'est notre défaut à tous : nous débordons et nous nous noyons.

Joe a dit…

C'est un peu comme Emmanuel Mousset qui devrait rester dans la philosophie.

Anonyme a dit…

On se demande quand vous bossez

Anonyme a dit…

Le pen ét les 50 pour cent d'ouvriers qu'elle draine,qui ne sont pas votre monde,heureusement'

Anonyme a dit…

Ét la philo
La question des villes et des banlieues est fondamentale,surtout pour ceux qui bossent

Anonyme a dit…

Vous aussi vous vous noyez,on ne lit guère d'analyse philo ici

Emmanuel Mousset a dit…

1- Vous confirmez mon propos : "c'est notre défaut à tous". Le vôtre est de vouloir faire un commentaire intelligent.

2- J'ai travaillé ce week-end à corriger des copies et je commence les cours demain à 8h00. Et vous, votre week-end de travail ?

3- Le Pen dupe les ouvriers mais ne fait pas partie de leur monde. Moi si, par mes origines.

Anonyme a dit…

Côuper du bois nettoyer le garage aller à la piqure etc travail. Au garage demain

Erwan Blesbois a dit…

Est-ce qu'on ne devrait pas enfermer Guilluy, pour propagation de fausses rumeurs et incitation au pessimisme : "il fait des dégâts", c'est bien connu il n'y a rien de plus démoralisant que la vérité et la lucidité, quand le pays a tant besoin d'optimisme et d'illusions. Belle conception de la vérité pour quelqu'un qui se prétend professeur de philosophie. Bon ce blog est souvent de mauvaise foi et n'est que l'organe de la propagande la plus caricaturale, partiale et servile. Soyons honnête, on sent chez son auteur une véritable puissance de réflexion, mais trop souvent utilisée à mauvais escient, hélas !

Anonyme a dit…

Vos posts sont tellement court-termistes que vous n'avez pas de recul sur l'histoire que vous vivez et défendez par votre parti-pris. Vous n'avez pas conscience d'avoir contribué à faire élire le petit-fils politique de Giscard. Que ce soit sur le plan sociologique pour lui, par sa formation, son milieu politique, tous ses entourages depuis 2007 à travers ses différentes fonctions. Et surtout, le nec plus ultra sa politique économique sera libérale ; du Giscard en pire puisque depuis le libéralisme façon Thatcher et Reagan s'est imposé partout et pour tous les dirigeants politiques même présumés de gauche. Partout la situation du monde du travail s'est largement aggravé par le chômage et la pauvreté de masse. Mais de toutes les façons cela est le cadet de vos soucis.

Anonyme a dit…

Si,de par vos origines, vous faites partie du monde du travail cela n'empêche pas que vous l'avez bien oublié par vos choix politiques.

Emmanuel Mousset a dit…

1- Des occupations d'inactif, pas un vrai travail.

2- J'ai le droit d'être en désaccord avec Guilluy, même si cela froisse le conformisme ambiant.

3- Giscard, Macron, deux époques incomparables.

4- Ce n'est pas en votant Le Pen que je vais me rapprocher de mes origines !

Erwan Blesbois a dit…

Donc au fond tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes, ce sont ces salauds de pauvres qui apportent du désordre dans le pays avec leurs revendications salariales et leur foutue xénophobie, alors que l'économie du pays a plus que jamais besoin de l'immigration.
Le peuple est minoritaire, ce sont les classes moyennes comme moi qui sommes majoritaires, le peuple n'aura qu'à se soumettre ou périr
L'important sera de donner une bonne image de soi c'est tout.
Hollande l'a dit : jamais le pays ne s'est aussi bien porté grâce à lui.
Il ne faut pas avoir honte de mépriser les faibles qui ont une mauvaise estime d'eux même.
Je vais essayer d'adopter une nouvelle philosophie comportementale plus adaptée au monde qui se profile.
Pas la peine de résister, c'est mort, les puissances d'argent sont devenues trop fortes, c'est trop tard.

Anonyme a dit…

De vos origines sociales la soumission vous est inhérente vous auriez pu faire le choix de la France Insoumise. Pas de réflexe manichéen, ni pavlovien !

Emmanuel Mousset a dit…

1- Salauds de pauvres, non. Mais salauds de cons, oui.

2- Non, Mélenchon n'est qu'un bavard. Mais Lutte ouvrière, oui : j'ai toujours eu un faible pour eux.

Anonyme a dit…

Ne généralisez pas votre cas ! Mélenchon et la France Insoumise ont commencé à reprendre au FN le vote des pauvres, ouvriers, employés et chômeurs, pas Macron.

Oui, comme tous les tenants de l'ordre établi vous avez un faible pour Lutte ouvrière qui, comme toutes les formations trotskystes, sont les idiots utiles du patronat. Il est vrai qu'avec vous cette soumission de type Macron aux souhaits du patronat est plus claire.

Anonyme a dit…

Mélenchon, un bavard ? Un homme politique qui fait 19,6% des voix alors qu'il a commencé presque seul sa campagne en février 2016 ? Faites-en autant! Sa campagne et celle de Macron ont contribué à dynamiter votre parti socialiste.

Anonyme a dit…

Bavard?... Comme individu logorrhéique compulsif, on peut penser que vous êtes l'illustration parfaite de ce phénomène typique d'un état maniaque.

Anonyme a dit…

Vous avez du oublier, si tant que vous l'aviez su, que la géographie ça sert à faire la guerre ... sociale au monde du travail dont votre mentor et président est lé général en chef.

Erwan Blesbois a dit…

Dommage que tu n'aies pas choisi de militer activement pour Lutte Ouvrière, ton blog aurait été plus intéressant et plus rigolo, et considérant tes origines sociales tu aurais beaucoup gagné en crédibilité et en légitimité. Là un fils d'ouvrier qui fait le jeu in fine de la classe sociale la plus privilégiée et du grand capital, ça fait un peu laquais qui rampe devant ses maîtres. Sinon quels sont les présupposés idéologiques de Guilluy que tu récuses pour le discréditer, comme ça juste par curiosité ?

Emmanuel Mousset a dit…

1- Je suppose que vous traitez d'"idiots" tous ceux qui ne sont pas d'accord avec vous.

2- La dynamite de Mélenchon lui a aussi pété à la gueule. D'où son air penaud au soir du premier tour.

3- Non, je ne suis pas un bavard. En public, j'écoute plus que je ne parle.

4- Vous avez une drôle de conception de la géographie, qui n'est pas la mienne ni celle des vrais géographes.

5- Erwan, contrairement à toi, brave bourgeois, je ne suis pas en quête de crédibilité ni de légitimité.



L T a dit…

2- Non, Mélenchon n'est qu'un bavard. Mais Lutte ouvrière, oui : j'ai toujours eu un faible pour eux.
Eh bien, moi, c'est presque pareil, j'ai un faible pour les socialistes du genre Hamon, Filipetti, Emmanuelli, et même le maire de Roye, des gens que je pense très honnêtes et clairs dans leur action en rapport avec leur façon de vivre mais je ne vote pas pour eux, je vote Lutte Ouvrière quand il y a un candidat ou une candidate de cette sensibilité, en mémoire de Léon Trotski dont la pensée fut en rapport constant avec l'action, du moins, c'est ainsi que je le vois.

Emmanuel Mousset a dit…

Si je comprends bien, votre cœur balance entre Filipetti et Trotski. Un peu comme moi au restaurant : j'hésite toujours entre fromage et dessert.

yvesgerin a dit…

Le 3 mai 2016 Thibaut pinot n'est pas venu à l'invitation par Macron des meilleurs coureurs français, gloire à lui,à l actuel deuxième du Giro

Erwan Blesbois a dit…

Les classes sociales ne sont plus ce qu'elles étaient, regarde toi, moi instit et toi prof de philo, hiérarchiquement tu m'es socialement supérieur. Je sais que tu t'en fous, que tu ne te détermines pas en fonction du regard des autres, mais par rapport à toi-même, comme tu ne cesses de le répéter. Détrompe-toi c'est grâce au regard bienveillant de certaines personnes que tu t'es épanoui et développé, sans doute des gens qui aujourd'hui votent pour Macron, donc on peut comprendre que tu leur sois reconnaissant, on peut le comprendre mais pas être d'accord.
Tu t'es arraché à ta condition de prolétaire, mais tu es aussi le fruit d'une certaine époque où "l'ascenseur social" n'était pas en panne, et où les "prolétaires" dans les années 70 étaient vachement à la mode, ça faisait tellement classe de mépriser les bourges à cette époque. Ce n'est malheureusement plus le cas : c'est là que réside ta mésinterprétation de l'époque contemporaine. Les types nés comme toi aujourd'hui ne s'arrachent plus à leur condition, car ils ne sont plus du tout à la mode, et ceux qui ont entre 20 et 30 ans issus d'un milieu ouvrier, votent majoritairement FN. En les traitant de cons c'est un peu toi-même que tu traites de con, si tu étais né 20 ans plus tard.
Toujours est-il que ce serait moi qui aurait un préjugé bourgeois et pas toi ! C'est l'hôpital qui se fout de la charité !
Les classes ne furent plus ce qu'elles étaient grâce aux trente glorieuses et sa générosité matérielle et redistributive, et aussi son lot d'intellectuels contestataires tels Deleuze, Sartre, Foucault... favorables au renversement des hiérarchie traditionnelles.
Mais tout cela n'est plus du tout dans l'air du temps et on assiste avec le néolibéralisme qui suit sa trajectoire ascendant depuis 1983, à une Restauration de classes, dont Macron constitue un modèle emblématique, et un fervent militant de l'accroissement des inégalités. C'est pour cela que je pense que tu te trompes énormément en le soutenant aveuglément.

Emmanuel Mousset a dit…

Erwan, ton problème, c'est que tu manques d'amour. Non d'être aimé, puisque tu l'es, dans la vie privée, mais d'aimer, dans la vie publique : aime Macron, c'est-à-dire admire-le. Tu évacueras ainsi toute la bile qui est en toi.

Anonyme a dit…

La dynamique et la dynamite Mélenchon a contribué à détruire ce parti "socialiste" que vous aimiez tant. Mélenchon espérait se qualifier pour le second tour face à Macron pour un duel qui aurait plus d'allure que le simulacre qui a eu lieu.
Votre faible pour Lutte ouvrière vous fait oublier que cette formation, pas plus qu'en 2002, n'a cédé à cette rhétorique antifasciste vieillotte et infondée à laquelle le petit bourgeois que vous êtes cède par paresse et conformisme intellectuelle pour mieux faire élire le mandataire de la bourgeoisie, grande, moyenne et petite par réflexe pavlovien.

Anonyme a dit…

Votre ignorance se révèle par vos commentaires : sur l'expression idiot utile du système, sur la géographie je ne sais pas ce que c'est un vrai géographe mais je sais que "la géographie ça sert aussi à faire la guerre" est un ouvrage fameux du grand géographe et géopoliticien Yves Lacoste, fondateur de la grande revue "Hérodote" mêlant Histoire, géographie et géopolitique. Vous devriez prendre le temps de la lire, ça vous formerait et ouvrirait des horizons intellectuels que vous ignorez. Cette revue a fêté l'an dernier ses 40 ans et aborde chaque trimestre de vastes sujets de façon pluri-disciplinaire de façon très ouverte.

Emmanuel Mousset a dit…

1- Aucune rhétorique antifasciste n'est "vieillotte", sauf aux yeux des fascistes.

2- Pour le coup, l'idiot inutile, c'est vous : répéter ce que vous lisez, en être fier et être incapable de penser par vous-même, quelle misère !

Erwan Blesbois a dit…

Honnêtement sur la photo je trouve que tu as plus de "gueule" que le type à tes côtés. C'est toi qui aurait dû être Président !

yvesgerin a dit…

Souligner la couverture de Charlie hebdo,ignoble.Ce canard ne fait pas dans la caricature mais la haine.Tout comme Guillon,Barthes ét d,autres

Emmanuel Mousset a dit…

J'ai le privilège de l'âge : en vieillissant, on prend une gueule. Mais j'ai déjà été président ... d'association.

Erwan Blesbois a dit…

Jeune tu avais déjà une "gueule", ce qui te distinguait des autres... déjà !

Anonyme a dit…

Le vieux Mousset est incapable de se renouveler même en apparence, lui et les siens sont les alliés objectifs de ce qu'il appelle comme ses amis d'extrême-gauche du fascisme. Quand on a un tant soit peu de culture historique on sait très bien que le FN même de MLP n'a rien de fasciste, mais un parti réactionnaire et xénophobe.
Déjà en sont temps Pierre-André Taguieff faisait remarquer dans une des nombreuses études savantes dont il a le secret parce qu'il travaille ses sujets, lui!, que les anti-racistes et les anti-fascistes donc anti-FN ne lisaient jamais les analyses de ceux auxquels ils étaient censés s'opposer donc que leurs analyses étaient inopérantes parce qu'infondées. Ils préfèrent par paresse et conformisme intellectuel répéter une rhétorique vieillotte et inefficace.

Emmanuel Mousset a dit…

Désolé, mais le passé m'intéresse. Vous faites tout pour l'oublier ou le discréditer, et on comprend bien pourquoi. Pour moi, le FN ce sont des fachos, point final. Et tant pis pour Taguieff et ses "études savantes" (sic).

yvesgerin a dit…

Jamais trouvé Macron trés beau.Look d'e trader, plutôt fade.A l'avenant préfère Fillon,plus élégant.C est vrai que Mousset à un profil plus affirmé ét sa beaute ,lui aussi

Philippe a dit…

A vous tous en vos grades et qualités (comme dit E. Macron)
J’ai une proposition beaucoup plus révolutionnaire bien que remontant aux neiges d’antan à vous faire pour régler toutes les querelles politiques ou pas:
Inspiron-nous de la méthode des bonobos nos frères supérieurs !
https://fr.wikipedia.org/wiki/Bonobo

Erwan Blesbois a dit…

A propos des bonobos, j'ai une théorie là dessus, les gens étaient beaucoup trop heureux dans les années 70, ils vivaient bien matériellement, ils baisaient beaucoup, il y avait moins de tensions dans la société, et ils étaient plus contestataires que jamais.
Il a fallu remettre au travail tout ce petit monde, allez hop hop, SIDA qui sort de nulle part et néolibéralisme, au boulot feignasses, au régime sec (pas de cul, pas de fric) !!!

Emmanuel Mousset a dit…

C'est vrai que tu ressembles un peu à un bonobo, de visage.

Erwan Blesbois a dit…

C'est vrai que nos jeunes loups, traders, journalistes de BFMTV, banquiers, et même Président de la République... avec leurs regards bleu acier et leurs sourires de carnassiers, clones interchangeables dévorés d'ambition, ça a quand même plus de gueule !

P R a dit…

Le plus difficile n'a jamais été de conquérir une présidence ou à tout le moins d'être nommé président par ses pairs, le plus ardu a toujours été de "tenir" le poste, d'être un président écouté et respecté, de devenir un président qu'on regrette lorsqu'il s'en va !

Anonyme a dit…

Le passé n'intéresse pas Emmanuel Mousset parce qu'il ne veut pas y lire l'échec programmé de Macron qui ne sert que la France d'En Haut, pas celle de sa région ni de bien d'autres. Les Français ont voulu donner une chance à Macron, cette confiance est limitée et risque de se périmer vite.
Votre refus des études savantes de Pierre-André Taguieff est le signe de votre paresse et conformisme intellectuels. S'il y en avait encore besoin....c'est un signe supplémentaire.