mardi 31 mai 2016

Méluche et Microbe



Nos hommes politiques ont des surnoms, que le grand public ne connaît pas toujours. Ceux des rois de France étaient souvent officialisés. Le qualificatif peut être sympathique ou hostile. Jean-Luc Mélenchon est appelé Méluche par ses proches. Son nom est rendu ainsi plus familier. A l'inverse, Emmanuel Macron, qui subit depuis quelques jours un feu croisé assez nourri (c'est le privilège des grands), a aussi son surnom, moins favorable : Microbe. Quoique c'est mignon, Microbe. Mais pas dans l'intention de ceux qui l'utilisent.

Méluche et Microbe : il n'y a plus différent, à gauche, que ces deux-là, idéologiquement. Pas besoin de faire un dessin. En même temps, aussi étonnant qu'il paraisse, on peut les rapprocher. D'abord, l'un et l'autre ont un franc parler qui n'est pas si fréquent en politique. Bien sûr, le ton est incomparable : Méluche tonne, c'est la foudre ; Microbe est tout en douceur. Mais les deux sont dans la clarté et font réagir. C'est bien.

Il y a une proximité plus forte. Méluche et Microbe se sont choisis un destin personnel, en dehors des partis politiques. Ils recherchent le contact direct avec les Français. Venant de Macron, ce n'est pas surprenant : il n'a pas de culture partisane, de réflexes d'appareil. Mélenchon, lui, est un vieux loup de mer, dans une mouvance, la gauche radicale, qui ne jure que par le collectif. J'ai l'impression que Méluche a suffisamment donné dans cette farce, il court maintenant en solitaire, et il a raison. La primaire n'aura jamais lieu, la gauche radicale qui demande sa tenue va se retrouver le bec dans l'eau, Jean-Luc Mélenchon aura pris une longueur d'avance, le PCF et consorts n'auront plus qu'à se rallier à sa candidature, la queue basse. C'est malin.

Dernier point commun entre le candidat de la gauche radicale et le tenant de la gauche libérale : la démocratie numérique. L'un et l'autre ne croient plus au militantisme classique. Là aussi, ils ont du nez. Le sort d'une élection se joue désormais en partie sur l'internet. Méluche et Microbe mettent le paquet dans ce secteur. Leur investissement va beaucoup plus loin qu'une utilisation du vulgaire Facebook. Ce sont des campagnes électorales entières qui passent sous la coupe du numérique. Les Etats-Unis sont leur référence. Est-ce que Méluche et Microbe ont un avenir ? C'est possible. Chacun a le mérite de représenter une sensibilité bien identifiée. Ils ont leurs talents respectifs, des entourages et de l'intelligence à revendre. Que demander d'autre pour réussir en politique ?

27 commentaires:

Philippe a dit…

Macron voulait supprimer l'ISF !
On sait maintenent pourquoi : ne pas payer tous ses impôts !
http://actu.orange.fr/france/isf-macron-rattrape-par-le-fisc-magic-CNT000000pr3G8.html

Anonyme a dit…

Macrobe, j'aime bien aussi.

M a dit…

"C'est bien."
L'auteur de ce blog, par ailleurs intéressant au sens que ça m'intéresse sinon qu'y ferai-je encore à lire certaines élucubrations d'extrême droite comme de gauche maoïste sinon trotskiste (ce qui n'est pas pour me déplaire), truffe ses billets qui à terme mériteraient une publication écrite tant mises à part quelques fautes d'orthographe quand ce n'est pas de syntaxe voire de conjugaison, c'est construit, clair et précis, d'appréciations moralistes dont pourtant il se défend : "bien", "bon", "mal", "mauvais", et j'en passe...
Un vrai petit curé de campagne à la sauce Bernanos ne parlerait pas autrement...
EM et ses microbes, ses macrobes et ses berrichons parfois de service, que je suis venu lire sur son blog parce qu'une de ses anciennes élèves, fille par ailleurs d'une personnalité "politique" locale d'importance relative mais qui fait partie de mes relations, m'en avait parlé favorablement, m'impressionne seulement parce qu'il semble absolument sûr de lui (mais pas dominateur), et capable d'avaler toutes les couleuvres pourvu qu'elles soient nées au sein de ce PS qu'il vénère...
D'autres, en d'autres temps, vénéraient de même manière de fieffés abrutis dirigeant de manière anti-démocratique.
Le culte de la personnalité, peut-être...
PS ça pourrait aussi être les initiales de "Petit Sot".

Maxime a dit…

Je vous ferai remarquer qu'il a eu l'honnêteté de rectifier sa feuille d'impôts pour le payer ce fameux ISF... Je ne vois pas où est le problème...

Emmanuel Mousset a dit…

A M, je confirme que j'ai des certitudes, qu'elles sont socialistes et que je suis fidèle au parti et au gouvernement qui portent ces convictions. En quoi ça vous gêne ? Vous devriez plutôt être admiratif. Par ailleurs, le "Journal d'un curé de campagne" de Bernanos est un récit magnifique. Vous préférez le "Journal de Mickey" ?

Erwan Blesbois a dit…

Oui c'est dommage, Emmanuel Mousset aurait fait un bon curé de campagne, la religion catholique des villages français, qui prônait la coopération, la fraternité et l'entraide, c'était une bonne cause. Aujourd'hui l'intention est toujours aussi bonne, mais la cause est mauvaise : le PS ! Et quelle cause défend désormais le PS, par lâcheté, peut-être à son insu ? La caste des milliardaires. Malgré la pureté de leurs intentions - " le kantisme a les mains pures mais il n'a pas de mains "-, E.M et ses amis socialistes trahissent le monde du travail en France, où une résistance populaire inattendue contre une loi Travail marquant un recul considérable des droits des salariés s'exprime actuellement, avec remise au premier rang de syndicats comme la CGT qui depuis des années avaient paru oublier de jouer leur rôle historique de défense des travailleurs. Des mouvements analogues pourront sans doute apparaître ou s'étendre dans les autres pays européens. Ils échoueront probablement face aux résistances gouvernementales instrumentées par les milliardaires, mais ils laisseront cependant des traces.

Maxime a dit…

Les seules traces laissées par les syndicats pour l'instant c'est l'agacement et la lassitude dans la population.

Erwan Blesbois a dit…

Il y a aussi l'excellent film de Woody Allen, Match point, qui montre le fossé abyssal en terme d'être au monde, entre l'oligarchie et un homme moyen, qui finalement ne peut rejoindre l'oligarchie que par le crime et ce crime est aveugle, et cyniquement l'homme moyen y arrive dans le film. Le film de Woody Allen est pratiquement communiste dans sa dénonciation du caractère pervers du capitalisme, car il montre que le régime oligarchique, et ses conditions de maintien au pouvoir, reposent sur le crime, ou encore que l'amour des forts - l'amour au sein de l'oligarchie, que je ne nie pas - repose sur le crime des faibles - les faibles sont aliénés et manquent d'amour donc ils tuent aveuglément dans le cadre de la rivalité mimétique. Il montre aussi que finalement les seuls qui ne soient pas pervers mais sains finalement, ce sont les oligarques eux-mêmes, car leur pensée n'est pas aliénée, mais elle embrasse l'ensemble de la réalité du monde de façon globale. Bien sûr il doit y avoir quelques oligarques qui sont pervers, pour qui compte dominer pour dominer, exploiter pour exploiter.
La perversion est causée par une pensée tordue. Zuckerberg n'est pas pervers apparemment, cela se voit à son visage ouvert. Si Zuckerberg est valorisé c'est que désormais chaque pensée est individualisée, dans un cadre kantien, et on se fie à l'apparence des choses plutôt que de chercher l'origine ou le fondement dans une perspective métaphysique plus gréco latine ou encore heideggérienne, pensée totalement discréditée par le nazisme, pensée conçue comme " alètheia ", dévoilement, et non comme construction individuelle dans le cadre d'un idéalisme kantien qui suppose l'idée de liberté. Oui mais voila la liberté n'existe pas ou peu ou pas lorsque les rapports de production entre les hommes le fruit de leur travail ne leur revient pas ; encore une fois "le kantisme a les mains pures, mais il n'a pas de mains ". L'homme moyen a une conscience de lui, chosifiée, réifiée, par les rapports de production pervers, donc les idées et la pensée qui en résultent sont pervers. Dans des rapports de production qui reposent sur le dualisme, création/destruction, où les travailleurs sont constamment menacés d'être " détruits", car leurs emplois sont menacés par l'innovation inhérente au capitalisme, et où les salariés sont pensés en terme de coût, donc se retrouvent les ennemis du capital, au lieu d'être pensés en termes de bénéfices pour le capital : où donc l'oligarchie envisage les salariés comme des hors-la-loi, c'est-à-dire comme ennemis des bénéfices, des ennemis pour qui ils n'ont aucune pitié, car l'oligarchie est mue par l'égoïsme, la cupidité. Emotions qui par rivalité mimétique se transmettent aux salariés qui se font la guerre sur leur lieu de travail. Comme pour être compétitif il faut réduire les coûts, il est évident que l'on est pris dans une spirale, où il faudra toujours réduire les salaires, si on ne change pas de paradigme.

Erwan Blesbois a dit…

Tout ça pour en venir au problème qui nous occupe : l'approche réformiste socialiste est une approche de fluidification du système capitaliste, de dégrippage de la machine, dans la perspective de réduire le chômage mais pas du tout dans une perspective de changer le système pourtant cause de tant de misère et d'aliénation, l'approche réformiste est exclusivement libérale, elle n'a plus rien de socialiste.
En système capitaliste il y a une petite élite qui a conscience de soi, tout le reste de la population pratiquement - sauf quelques profs reconnus, chercheurs et scientifiques, artistes ou écrivain - est aliéné et en réalité, effectivement, réduit en esclavage. Les cadres et les DRH sont un peu les kapos d'un tel système finalement concentrationnaire, dans son système de répartition des tâches. C'est pour cela que je dis toujours que c'était mieux avant mieux du temps des aristocrates, et encore mieux du temps des Grecs, le système n'était pas concentrationnaire, il y avait pour parler comme Deleuze toujours des "lignes de fuite", or aujourd'hui nous sommes enfermés par la mondialisation, il n'y a plus de lignes de fuite, car il n'y a plus de différence, d'altérité.
On est victime de la propagande scolaire. Les gens ont fait l'Histoire jusqu'à maintenant, or nous sommes tellement aliénés que l'homme moyen sort de l'Histoire. Je dis que les hommes autrefois faisaient l'Histoire, qu'aujourd'hui ils sont trop nombreux pour avoir la moindre valeur autre qu'une valeur d'échange et non une valeur d'usage. Valeur d'usage voulant dire que l'homme s'accomplit dans son travail alors que dans le cadre de la valeur d'échange il est aliéné : il ne s'accomplit plus dans son travail car il n'en connait plus ni les finalités ni les causes. Le travailleur est pris dans un système ou il ne peut même plus s'accomplir dans son travail, où il est constamment surveillé harcelé instrumentalisé et réifié, chosifié, comme le montre l'excellent film La loi du marché. Comme il ne s'accomplit plus, sa conscience est aliénée. Sa conscience dont l'obsolescence est programmée, tout comme l'obsolescence des biens de consommation qu'il fabrique est programmée.
Il valait mieux être esclave dans l'antiquité que salarié aujourd'hui, malgré la propagande officielle.
Des esclaves grecs furent de grands philosophes qui ont traversé l'histoire comme Epictète, beaucoup aujourd'hui sont juste sensibles à la propagande officielle, pense qu'autrefois il y avait de l'esclavage et plus maintenant ; en réalité c'est de pire en pire.
La propagande du capitalisme, de l'oligarchie libérale, propagande dont je subodore l'existence dans la réalité, la publicité par exemple est le surgissement du capitalisme dans l'intimité des gens pour leur réclamer encore plus de sous, comme si les capitalistes n'avaient pas assez d'argent comme ça ! Mes grands parents étaient beaucoup moins aliénés que moi, car ils accomplissaient un travail basé sur la valeur d'usage, dans un paradigme catholique, donc rassurant.

Anonyme a dit…

Il y a en outre une vraie différence entre le microbe et Méluche, le premier n'a jamais été un élu du peuple de quelque façon que ce soit, pas le second qui aura bien du mal à se faire élire. L'un se prétend de gauche, l'autre l'a prouvé par toute sa carrière et ses idées. Le premier cultive un flou total quant à ses idées, le second est d'une clarté et limpidité qui lui fait honneur quoique l'on en pense par ailleurs.
Le premier, si je vous en crois, veut ressusciter un libéralisme "de gauche" mais qui n'existe plus ou est porté depuis près de 40 ans que par des gens de droite, le second est un authentiquement un homme de gauche qui se bat pour un monde plus juste et non pas juste pour un monde au service de l'oligarchie dont le microbe est un jeune et sémillant représentant qui ne trompe que ceux qui veulent bien être trompés comme Emmanuel Mousset.

Anonyme a dit…

Le microbe se croit jeune politiquement et selon son état civil mais il ne sait pas qu'il est déjà vieux en tout domaine dans la mesure où il n'a pas lu les dernières analyses du FMI selon lesquelles le libéralisme a été "survendu" par une efficacité douteuse.
Monsieur Mousset vos analyses pêchent souvent par votre inculture économique, pour être plus crédible il serait bon que vous y remédiez. Voire votre inculture politique dans la mesure où le libéralisme est une pensée bien plus complexe que celle que vous nous "survendez".

Emmanuel Mousset a dit…

Si je suis aussi inculte que Macron, ça va, ça me convient, ça me suffit.

Maxime a dit…

Elle vous est venue comment cette interprétation de Match Point Erwan? En tout cas c'est très marxiste comme lecture...

J'aurai plutôt vu ça comme une illustration de la philosophie de Nietzsche: pour se dépasser et s'accomplir, il faut laisser tomber la morale.

Erwan Blesbois a dit…

Maxime, je suis imprégné de la philosophie de Nietzsche, j'ai fait un mémoire de philosophie sous la direction d'Elisabeth de Fontenay, qui s'intitulait " Typologie et critique du système " dans la philosophie de Nietzsche, votre interprétation est tout à fait plausible. Comme le dit Nietzsche "il n'y a pas de faits, il n'y a que des interprétations ", et je vous encourage à faire des interprétation plutôt que nous vous inféoder à quelque dogme que ce soit ; c'est la tâche comme le rappelle Emmanuel Mousset, de tout philosophe digne de ce nom. " Deviens ce que tu es ", Maxime ! (je sais je rabâche un peu des lieux communs éculés de la philosophie de Nietzsche, mais il faut bien encourager le jeunesse).

Anonyme a dit…

Vous êtes inculte parce que vous ne cessez de montrer les limites, lacunes de votre culture, parce que vous ne lisez que ce qui importe par paresse et conformisme. Ne commentez donc pas sur un simple bout de phrase alors je pourrais vous prendre au sérieux. L'oligarque Macron dont vous êtes le chantre ne fait que réciter le prêt-à-penser de son monde, c'est tout! Ce dernier ne représente rien politiquement.

Emmanuel Mousset a dit…

Je n'aimerais pas être pris au sérieux par quelqu'un comme vous.

Anonyme a dit…

Tout est erreur! Il n'y a pas de honte à se payer un costard à 1200 euros si on peut, comme il n'y a pas de honte à gagner 1200 euros par mois ! La polémique ne ressemble à rien et n'est pas fondée dans le monde actuel même s'il n'est pas parfait. L'histoire nous a appris ce qu'était le communisme et le nivellement par la médiocrité répartie.

Anonyme a dit…

Vous avez pris parti pour un ministre, ex-banquier qui a triché sur sa déclaration de revenus à la Haute Autorité de Transparence de la Vie Publique. Après Cahuzac et Thévenoud....vous pouvez toujours faire de la morale mais vous n'êtes pas crédible, même quand vous vous en prenez au FN ! A propos de ce dernier vous ne savez que réciter une rengaine totalement inefficace. Changez de disque! Le vôtre est rayé !

Emmanuel Mousset a dit…

1- Aucune triche de Macron. Si tel était le cas, démission immédiate, évidemment.

2- Aucune morale chez moi, seulement une prise de position politique, avec laquelle vous pouvez être en désaccord, bien sûr.

3- Contre le FN, je ne changerai jamais de disque, même rayé.

Philippe a dit…

« 1- Aucune triche de Macron. Si tel était le cas, démission immédiate, évidemment. »
Qui va lui jeter la première pierre ?
Il a tendance probablement à estimer ses biens immobiliers au tarif le plus bas du marché au m² du secteur. En cela il serait un contribuable banal.
C'est Woody Allen qui dit de lui-même « escroc mais pas trop » !

« 2- Aucune morale chez moi, seulement une prise de position politique, avec laquelle vous pouvez être en désaccord, bien sûr. »
Selon certains la finalité de la politique serait d'instaurer "de bonnes lois" pour le bien du peuple.
La « morale » de la politique serait le bien du peuple.
Oui mais qui connaît « le bien du peuple », le peuple étant constitué de gens aussi différents que des milliardaires, des héritiers comme messieurs Gattaz ou Dassault ou Bettencourt, des grands et petits bourgeois, des salariés modestes, des petits commerçants ou artisans, des chômeurs, des « bénéficiaires » du RSA, des sans-abris etc. etc.
Cette multitude bigarrée a-t-elle le moindre plus petit commun dénominateur appelé « bien commun » ?

« 3- Contre le FN, je ne changerai jamais de disque, même rayé. »
Un autre dira avec la même conviction : contre les idéologies socialistes à l'origine de tant de morts, de STASI, de goulags, d'exactions de-ci, de-là sur la planète hier et aujourd'hui je ne changerai jamais de disque même rayé.

Maxime a dit…

Et bien moi comme "morale politique" je préconiserai en premier lieu la puissance du pays. Comme ça problème réglé.

Anonyme a dit…

Perso, né d'ouvriers agricole, donc sans fortune patrimoniale, fonctionnaire, j'ai pu acquérir une maison.
Je gagne moins de 1900 € mensuellement.
Je ne suis à l'évidence pas riche même si en rapport de ceux dont les revenus avoisinent le smic, je peux paraître au moins plus à l'aise qu'eux...
Je suis contre l'impôt sur le patrimoine.
Contre puisque les déclarations sont TOUTES sujettes à caution et discussion.
Par contre, lors des successions, alors là, je suis pour la matraque.
Il n'y a guère de motifs à faire valoir pour la fortune acquise par les parents revienne aux descendants, riches sans effort.
Donc, sans absoudre EM pour avoir minimisé la valeur de ses biens, je ne retiens pas contre lui son "erreur".
Toutefois, si ces fois ne sont pas le fruit de son travail propre mais celui de ses aïeux, alors là...
Suivez mon regard !

Anonyme a dit…

Anonyme né d'ouvriers agricoles, on décèle à la façon dont vous vous exprimez, que vous ne faites effectivement pas partie des " héritiers " que décrivait Bourdieu. Sur la forme c'est connement écrit, et sur le fond ce que vous dites aussi est parfaitement con. Mais comme ça va dans le sens de ce qui dit Macron, vous faites plaisir à l'auteur du Blog.

Maxime a dit…

Rassurez-vous votre prose est aussi parfaitement conne...

Philippe a dit…

"con" mais laisser donc cet organe féminin en ... paix et cessez de l'employer pour qualifier les "mecs" qui fréquentent ce blog ....
car finalement il n'y a que les "mecs" qui ont le temps de le fréquenter ....

Maxime a dit…

Qu'est-ce que vous en savez que seuls les hommes ont le temps de fréquenter les blogs?

Philippe a dit…

"ce" pas "les"
il existe évidemment des blogs fréquentés par des femmes