mardi 20 décembre 2016

Bouge dans l'Aisne !




Quand Ludovic Givron m'a proposé de présenter une émission sur la webtélé Bouge dans l'Aisne, j'ai d'abord été sceptique. Je suis un homme de l'écrit, pas de l'image. Mes seules expériences dans l'audio-visuel remontent à quelques années, quand le BTS du lycée Henri-Matin m'a demandé, à plusieurs reprises, d'animer en studio. Mais l'exercice était scolaire et encadré. Sinon, il me faut aller plus loin dans le passé, en 1983-1984, à Angers, où je commentais les actualités locales sur une radio privée (c'était la grande époque, on disait alors : radio libre).

J'aime bien les expériences nouvelles, Ludo me laisse entièrement libre et surtout je ne sais pas dire non. L'idée : faire venir un invité, personnalité locale ou départementale, y compris politique, et le soumettre au feu de mes questions, dans la provoc gentille. Ludovic m'a suggéré un titre que je n'aurais jamais osé : Venez vous faire mousset ! Mais je ne sais pas dire non. Nous avons enregistré trois émissions il y a quelques semaines. Marc Santerre est le premier à s'être prêté au jeu. Qu'est-ce que ça va donner ? Je n'en sais rien, à vous de me le dire. Le seul critère, c'est l'audience : du public ou pas. La durée est de 12 minutes.

Cet après-midi, Ludovic Givron a lancé officiellement sa chaîne TV sur smartphone. Le téléchargement de l'application est gratuit. Je veux remercier l'équipe des techniciens qui nous ont accompagnés : Adrien, Thomas, Gauthier, David, Antony et Pierre. Des élus sont venus saluer cette initiative, dont il faut rappeler qu'elle est départementale : Frédérique Macarez, Jean-Marc Weber, Aude Bono, Arnaud Battefort et plusieurs responsables associatifs. Allez, tous, on bouge dans l'Aisne !

4 commentaires:

P a dit…

"dans la provoc gentille"...
Comme ça vous va bien !
Gentille, pour sûr !
Vous n'êtes guère autre chose et personne ne vous craint !
Provoc, alors là, vous vous surestimez !
Qu'est ce que vous avez de provocateur ?
Rien à voir avec les "vrais" provos néerlandais d'il y a plusieurs lustres, comme le temps passe, hélas, bien vite !

H H a dit…

"Frédérique Macarez, Jean-Marc Weber, Aude Bono, Arnaud Battefort et plusieurs responsables associatifs"...
Tiens, tiens...
Et personne de gauche sur Saint Quentin pour soutenir cet attelage ?
Car Arnaud Battefort bien que possiblement encore carté PS est-il réellement de gauche hors posture ?
E M a pris la marche sur un premier sentier, celui qui mène à droite, pas le deuxième qui va tout droit ni le troisième qui part à gauche.

Evi a dit…

Et pourquoi il faudrait que quelqu'un craint Emmanuel?c'est quoi ces âneries? Surement que dans votre cerveau pour exister en politique, en société... il faut que les autres vous craignent;eh bas bravo!!! vous appartenez à un siècle ancien.Réveillez vous, même à St Quentin nous sommes en 2017 bientôt.

P a dit…

"Evi", faîtes un effort !
Dans toutes les formations politiques, il n'y a que des conjonctions d'idées voire d'intérêt.
Très peu de partisans sont amis entre eux, sinon de circonstances, et ce n'est d'ailleurs pas une condition nécessaire pour adhérer à un parti que d'être ami des autres adhérents ou partisans.
Ils n'ont (parlons des chefs) que des ambitions qui tôt ou tard se confrontent lorsqu'elles sont de même niveau.
Dans les partis, ceux qui peuvent être amis et ne se craignent pas et ne se craindront sans doute jamais sont seulement des militants et des colleurs d'affiches.
Mais les partis, s'il leur est nécessaire de compter sur les militants et ces colleurs d'affiches, ne se développent que parce qu'ils ont des militants charismatiques, des orateurs, des penseurs, des chefs qui tôt ou tard en viennent à devoir se mesurer et à se craindre entre eux.
Est-il nécessaire de donner des exemples nommément explicités ?
Mais si vous voulez rester sur votre "grande illusion", pourquoi pas ?